martes, 29 de enero de 2013

1. - CURSO KANT.




Nº 1.  Cours. Critique de la raison pratique.

par
Mme Roberta MONTICELLI
Faculté des lettres  Département de philosophie

Et voilà nous sommes donc là pour nous initier en ce texte qui est était en train lan de piéger de toute la philosophie « La critique de la raison pratique » de Emmanuel Kant…, peut-être c’est un découverte pour quelqu'un d’entre vous, peut-être quelqu'un d’entre vous ne savez pas qu'est l’objet de nôtre cours. Et il faut repartir maintenant.
Donc, en ce qui concerne notre texte, le voilà,  je vous prie –étant donné qu'il s'agit justement,  d’un séminaire de lecture finalement--, de bien vouloir disposer de ce texte que s’achète sur la marché, pour pas trop cher, à c’est possible dès la prochaine fois. …… parce que je compte non pas seulement essayer de vous expliquer les en candrés de la pensé kantienne mais d’aborder ce texte avec vous.
En ce qui concerne donc la sélection de textes que seront déjà aussi, les textes valables pour l’examen, je n’ai pas encore pris une décision définitive je soupçonne qu'on aura le temps … d’approfondir le texte …… jusqu'à toute la dernière page au toute le longue de cet cours, je vais vous communiquer dès que les choses se manifestent un peu plus clairement finalement aussi nous difficultés, les vôtres dans la suivie du texte, que seront le partie effectivement à designer à préparer pour l’examen, mais ne parlons pas de l’examen maintenant, ce n’est pas encore le temps. N’est pas ?
Alors ceci en ce qui concerne nôtre texte principal. Bien évidement je vais vous donner un peu de bibliographie de contourne pas seulement à ce qui concerne à Kant lui-même mais en ce qui concerne également à quelques textes d’appui, à Littérature critique, etc. je ne vais pas le faire maintenant. Je préfère commencer, un tout petit peu, entrer en matière. Je vais le faire peut-être à partir de la prochaine fois je vous donnerais un minimum de bibliographie supplémentaire et complémentaire, mais ce qu'on peut dire déjà c’est que la plupart des textes de Kant existent bien entendu en langue française et à poche.  Alors je vous conseille d’acheter au moins l’autre grand critique, La critique la grand pure qui vous permettra finalement par ce par-là de vérifier tout suite, le rappelle, le référence que je vais faire à ce texte tout en lisent le nôtre.
Pour ceux d’entre vous qui sont particulièrement à… comment diront de bonne volonté, et portant …. de la volonté bonne n’est pas, je peux vous en suggérer de jeter un coup d’œil, à un texte qui avait été déjà étant de même dessiné comme un sorte de vulgarisation de la première critique, n’est pas ? Les prolégomènes… les célèbres prolégomènes  sur a… toute métaphysique future qui va se présenter comme une science. On reparlera rapidement ….. des œuvres de Kant mais si vraiment vous avez quelques heures et que vous voulez les employer  en fonction d’un départ déjà au moins pénible de vos études kantiennes d’essayer à jeter un coup d’œil à ce texte-là.  Pour ceux qui préfèrent être initie d’une manière plus douce et ….. alors je vous suggère à la lecture d’une texte avec lequel j’avais d’ailleurs commencé ce cours.
Je vais vous lire maintenant un passage sur Kant. Un passage qui j’espère va nous encourager finalement à aborder ce ….  Un passage tiré du livre de Jeanne Hersch, « L'entonnement philosophique » sous-titré : une Historie de la philosophie. C’est aussi un édition poche pholio ESE. Et plutôt qu'une histoire de la philosophie un série de grands portraits de philosophes. Bien entendue portraits intellectuel,  Jeanne Hersch[1] avec la précision et la concision qu'il a toujours distingué, ce force de saisir un peu mort, ce qu'il a appelé peut-être le geste fondamental de chaque philosophe dont il parle. C’est le cas pour Kant …. C’est donc déjà une très, très bonne chose. Déjà d’ici à la prochaine fois d’avoir lu un chapitre 15 de ce petit livre, qui va vous être outil de tout façon pendent vôtre collègue en langue philosophique  parce qu'il s’agit d’une petite histoire de la philosophie très légère, et pourtant très solide.
Alors Je vais vous lire ce texte sur Kant qui conclue en tout petit peu le chapitre 15 de ce livre. Dans l’espérance justement que cela nous aide à franchir le premier pas quelque fois difficile en effet n’est pas ? Qui nous sépare encore du monde de Kant de son langage.
« Que me permettre d’ajouter quelques mots au sujet de Kant. Il était un monsieur le plus grands des philosophes, -- Je lis mais cela ne veut pas dire que je partage chaque ligne que je lis, c’est une opinion qui a de l’actualité --- Peut-être pouvons-nous mettre Platon à côté de lui, Kant était un géant de la philosophie par la radicalité de son étonnement et de son interrogation, par sa capacité de mettre à mis le condition fondamentale de la condition humaine, par la sobriété qui lui permette non seulement d’éviter toute absolutisation pathétique au niveau de l’objectivité relative mais même de la rendre impossible, par la lucidité de sa raison et l’authenticité de sa croyance grâce auquel il se maintien strictement  à l’intérieur des limites humaines tout à fait sans pressentir la transcendance. Aucun homme qui s’engage dans la philosophie ne peut échapper à Kant. –on peut même ajouter pelas, on se verra…. -- on peut dire que son œuvre es désormais une partie intégrante du langage philosophique. »  –On peut le dire certaine …… on peut le dire sans doute, à peut m’en dire que Kant est là même quand on entend en sa langage dans la bouche de qui parle s’il s’agit justement d’un discours philosophique, parce qu'il a de tout façon, parce que il va ….. au fond définir en  le contournent de la pensée moderne.
Je dirais de manière plus profonde plus articulé, plus chargé de conséquences qu'en la p--- de Descartes lui-même. En ce sens il est quand même, ou quand on pense à cet état des choses, incontournable. 
Maintenant je vais …. Je vais remarquer quelques dates qui ont un sens, qui me permette déjà d’esquisser tous les premiers traits de notre portrait kantien…, pour pouvoir ensuite commencer la lecture de nôtre texte que fait en sorte aujourd'hui de ne pas entonner la lecture de notre texte, justement parce que vous ne l’avez pas encore, et je voudrais espérer à que vous puissiez suivre n’est pas les choses que je vais aller vous dire. Déjà les choses vont se compliquer. ……
Alors ce cours va être tellement introductif et que quelques notions que je vous donne vous pouvez le retrouver n’importe pas où dans quelque manuel de l’histoire de la philosophie. D’ailleurs je vais vous noter ces notions non seulement parce que c’est l’usage mais parce que cela me permettre le espace de déjà d’attirer votre attention sur quelques points qui ont un certaine point et une signification dans une certaine introduction à la pensé de Kant. Et alors donc vous le savez bien il est, il a toujours vécu dès la Né à la mort …. N’est pas aujourd'hui dans Leningrad à l’Europe de l’este 1724-1804. 80 ans c’est un âge remarquable pour un philosophe.
Kant a toujours été en quelque sorte un penseur assez encourageant pour ceux qui sont un peu tardifs dans la production philosophique au sens que comme vous avez …. Kant avait 57 ans, quand son chez d’œuvre  La critique de la raison pure a apparu à Paris. Donc que pour ceux qui n’ont pas encore produit son chef d’œuvre qui sont avant des 57 ans, ont toujours s’espoir que ça arrive.  Il cela n’est que le début, l’acmé de la carrière philosophique de l’aventure, de l’itinéraire intellectuel de  Kant se joue entre 60 et 80 ans. C’est vraiment un philosophe de 20 âges en quelque sorte.
Donc que la période qu'on appelle pré-critique  n’est pas, donc qui précède la grande révolution critique marquée par la grande trilogie, n’est pas, critique, on le situe entre de début de sa propre production littéraire et les années qui précèdent la critique de la raison pure.
Maintenant je vais tout simplement, vous indiquer deux ouvrages de la période critique, à savoir: apparu 1755, l’histoire général de la nature et théorie du ciel. À savoir un ouvrage de physique, notamment d’astronomie, l’histoire général de la nature et théorie du ciel. Où Kant il esquisse une cosmologie tout à fait newtonienne dans le cadre de la mécanique rationnel classique,  c’est l’ouvrage à partir de quelle n’est pas, on parle de l’hypothèse « Kant La place ».  La Place, en 1746 publique une exposition du système du monde qui rapporte quelques hypothèse et thèse présentés par Kant dans son ouvrage, je n’ai peux pas m’arrêter, sur des travaux finalement de, si vous voulez, philosophiques de la physique mais, également de véritable physique, tout cela pour vous dire que Kant finalement débute comme un savant, qu'il est profondément marqué par au fond la science, qu'est la science par excellence n’est pas de ses contemporaines, la physique newtonienne. Et il est au point de publier lui-même dans le domaine, des choses n’est pas que n’étaient pas encore possibles à ce temps-là, qu'ont devenue de l’ordre de plus en plus rares, qu’un philosophe pour ne pas parler d’un grand philosophe, puisse apporter des contributions remarquables également dans une discipline scientifique. Est remarquable le point que quand il était reconnu finalement, pour le processus Kant-La Place même, s’il n’était pas revenu encore le philosophe que tout le monde connaisse.
Eh bien, 1770 ce qu'on appelle La dissertation[2] ….. : Un ouvrage qui marque la fin d’arrivée de la période pré-critique  Et je vous rappelle à cet ouvrage simplement, pour vous dire que cette ouvrage-là appartient encore en entière au cadre de la métaphysique que sera l’objet justement de la critique Kantien à partir de 1780…etc.
  • 1.       Qu'est-ce que c’est métaphysique justement, de quoi s’agit-il : je ne sais pas si quelques-uns parmi vous suivent également le cours de l’introduction à la métaphysique, qu'aura problème n’est pas ? La métaphysique à la quelqu'un à faire n’est pas probablement la même que vous apprenez à connaitre lors de ce cours-là, peut-être en parte oui, mais il faut quand même savoir que par métaphysique Kant n’entend pas seulement ce qu'on entend aujourd'hui sur ce terme, parce qu'on utilise ce terme bel et bien en philosophie et sans honte…n’est pas, les temps sont passé,  ou on ne s’aime pas dire que nous nous sommes intéresses à tordre et passionnément à la métaphysique ça c’est loin grâce à Dieu. Un peu belle et bien s’intéressé à la métaphysique en Être ravie…. Ce mot métaphysique sur la plume de Kant a à la fois, disons un sens qui nous intéresse bien entendu encore et c’est le sens principale le plus important et à la fois un sens assez spécifique ce référence finalement à une version contemporaine à Kant de ce qu'on peut appeler tout la métaphysique et tout particulièrement donc ce qu'on appelle la philosophie de Wolf, le Wolffisme, ou si vous voulez la version a systématique courante dans les universités Allemandes c’est de la pensé de  Leibniz.

Alors Christian Wolf vécu entre 1635 et 1705 avait donc, en quelque sorte rédigé un système de philosophie rationnel appelée métaphysique  dans plusieurs ouvrages lui donnent un titre différent, et un système en quelque sorte bien articulé en contrepartie, étant ce qu'il a appelé la métaphysique générale ou ontologie --entre parenthèses c’est bien Wolf qui a introduit ou alors a imposé le terme d’ontologie pour parler de la théorie de l’être, ontologie, un terme qui n’était pas du tout en bogue avant lui--, Or la métaphysique générale ou ontologie est si vous voulez, la partie logique de la métaphysique, pour le dire rapidement, en bref . C’est si vous voulez la théorie des entités possibles, des types possibles d’entités, si vous voulez des catégories : substance, relation, propriété, accident, etc…, etc…. C’est donc si vous voulez la partie de la métaphysique qu'on peut l’appeler ontologie, aujourd'hui on peut l’appeler peut-être, l’ontologie formelle, pour souligner le fait que s’occupe de ce trait de l’être pour ainsi dire qui sont comme un n’avant pour quel, étant. À chaque fois n’est pas, j’aurais à faire des objets, à des propriétés, à des relations, AH ! …..mais à côté de la métaphysique général il y a belle et bien, pour Wolf, et donc pour Kant aussi, une partie de La métaphysique qu'est beaucoup plus important, et qui fait pour finir  le véritable objet de la réflexion kantien, c’est la métaphysique spéciale qui à son tour se divise en psychologie rationnel, théorie rationnel de l’âme, cosmologie rationnel et bien entendu, théologie rationnel. Alors pour quoi est-il si important n’est pas, de bien avoir en strict que métaphysique  qu'en ce sens plus technique signifie bien parce que on a-là déjà la structure même de la partie critique de la critique la raison pure à savoir de la, ce qu'on appelle la dialectique, la critique des illusion de la raison, de tout cela on en reparlera plus,  de tout cela on le verra plus de près dans un moment venu n’est pas ?. Mais nous avons là, si vous voulez le domaine de la recherche qu'on a appelé proprement, métaphysique à savoir qui porté sur les grandes questions si vous voulez, relatives à l’âme : son destiné, sa nature, au monde dans son ordre à l’univers, son origine, à sa nature, la femme, et bien entendu, Dieu ; son existence, son rapport avec le monde de l’homme, et ainsi de suite. Bien entendu c’est une systématisation du domaine des questions métaphysique dans le sens si vous le voulez déjà kantien des questions qui portent sur des objets qui sont au-delà du physique, si par physique on entend des choses qu'on voit et on touche. Bien entendu personne n’a jamais vu, l’univers tout entière, personne sauf quelques privilégiés, n’ont jamais vu Dieu à personne, peu des gens connaissent …. Par connaissent directe leur propre âme. De tout manière il y a un sens dans lequel on peut dire n’est pas, que l’âme dont parle la psychologie rationnelle, n’est pas un objet comme on dit, empirique, ou quelque chose dont on peut faire l’expérience, en ce sens ça relevé du domaine de la métaphysique de ce ….. Au-delà de toute expérience possible.
  • 2.       Voilà donc, à côté de l’élément physique de la formation kantien, le livre de 1755 sur le ciel, physique, le moment (l’élément) métaphysique de sa formation. Il est intéressent de remarquer, que, ce qu'on appelle la philosophie des lumières, en Allemagne coïncide presque avec cette métaphysique de racine Leibnizien, qu’on appelle, finalement, normalement, le rationalisme n’est pas, le rationalisme en tant qu’opposé à l’empirisme. Philosophie construite à partir de l’idée de la raison, construit a priori, en forme systématique-déductif, et qui tend à se baser finalement, à des résultats de la expérience et de la recherche proprement empirique. En ce sens il peut être accusé, et l’était déjà dans le temps de Kant, ce sorte de métaphysique, d’apriorisme, comme on dit n’est pas, donc de dogmatisme aussi, ce type des mots, des termes sur lequel nous aurons revenir pour leur donner une explication plus précise mais déjà on comprends très bien ce que cela veut dire,  si on compare n’est pas, ce qu'était en Allemagne la philosophie de lumière avec ce que la philosophie des lumières a été à la France, ou en Angleterre et bien il y a tout la différence du monde, n’est pas ?, là l’élément proprement rationaliste métaphysique dogmatique n’est sans doute pas dominant: surtout en France où il y a les philosophes les Voltaires, les rousseaux, les Diderot, et ainsi de suite ou en Angleterre où justement, se situe l’origine même de la courent empiriste. Mais en Allemagne la situation c’est différent sans doute, c’est De couche si vous voulez, la formation kantien donc joue un rôle très important dans le développement de la philosophie kantien elle-même, dont le côté physique que le côté métaphysique. Si on veut répéter ce qu'on dit normalement quand on présent Kant, faut dire aussi qu'un élément tout aussi déterminant finalement, pour le développement future de sa pensée, a été son piétisme, n’est pas. Qu'est-ce que c’est le piétisme ? C’est au fond la radicalisation d’une attitude religieuse protestante, normalement, le piétisme, ce courant de pensée religieuse qui dérive de la prédication de Jacobs Penner à entre 1635 et non…, bah, là je ne sais plus, c’est à peu près à la même période que Wolf mais je …. Pas des dates…, …... Alors le piétisme, en quel sens je parle d’une radicalisation du protestantisme. Penner Insiste sur tout en La nécessité d’une intériorisation de la religion n’est pas ?,  encore plus, encore davantage par rapport à la forme luthérienne ou calviniste due au protestantisme, donc un polémique encore plus…. poussé contre l’élément externe institutionnel du religieux : la médiation, les églises, les rites et, contre aussi l’élément intellectuel, dogmatique, le contenu dogmatique de la foi entendue comme un ensemble de propositions auquel il faut croire plutôt que comme une attitude tout simplement du sentiment et de la volonté. Chez le piétiste l’élément anti-intellectualiste est encore plus fort que chez les luthériens ou le calviniste, la seule note décideront anti-calviniste du moins c’est la  polémique contre la théorie calviniste de la prédestination et là aussi non, nous pouvons voir n’est pas, un lien avec l’attitude comme nous la verrons , fondamental de Kant, a qui donne finalement, en fait que le sujet est en mesure tjrs, de se suffire si vous voulez, d’un point de vue éthique, et autonome d’un point de vue éthique n’est pas, ce point est central en Kant, et n’est pas sans lien avec la critique piétiste, calviniste dont l’homme à lui seule est incapable de moralité et de toute manière, d’acmé.  Donc c’est surtout la primauté du vouloir sur l’entendement en ce qui concerne le domaine de l’expérience Religieuse et moral que nous devons retenir comme élément fondamental de la formation kantien qui va quand même avoir un rôle par après .
  • 3.       Finalement après la célèbre lettre à Marcus Hertz[3] de 1772 où Kant pose un peu, expose un abrégé, en quelque sorte les points fondamentaux de la révolution critique qui va venir, parole existe effectivement l’explosion de cet révolution mais pas comme Kant l’avait écrit à Marcus Hertz à l’air, d’ici à quelque mois, il n’est pas l’avait écrit cette lettre que finalement l’essentiel de sa premier critique, de ce qu'aurait été pour finir sa première critique, été déjà prêt, et qu'il a l’air donc de sortir avec un livre assez révolutionnaire « d’ici quelque mois », alors 9 ans après, à savoir 1681 effectivement la première critique, la critique de la raison pure premier édition, voit enfin la lumière. Il avait un petit peu mal calculé, n’est pas ?, ces 3 mois sont devenu 9 ans. Une erreur qu'un philosophe qui nous intéresse, pas tellement entend peut bien comme l’être. De tout manière il est là à 1681 c’est, et il y est La première critique, la 1er édition, de la critique, la critique de la raison pure. À partir de là, l’activité de Kant n’a plus de relâche. Et on pas d’un coup de génie à l’autre dans quelques dizaines d’années, à savoir donc qu’on a après, une réception franchement dessert honte de la critique de la raison pure, due pour certaines à la difficulté du langage.
  • 4.       Kant se force de rendre justement, le contenu de ce livre, le message, …. Plus accessible par les prolégomènes à 1783, les prolégomènes à toute future métaphysique qui va se présenter comme une science. Et c’est justement le texte du jour dont je vous conseille la lecture si vous avez quelques heures de libre, et ce texte-là est suivi à son tour à 1685 par, sous le, la première marche, la première volée si vous voulez, de l’ouvrage Éthique de l’œuvre de Kant, la première forme du deuxième pilier de la révolution critique, le pilier justement éthique, est le livre, la fondation formel ….. de la métaphysique de mœurs…, qu'existe lui aussi en poche, et auquel nous ferons quelque références par ici par là en lisent nôtre texte, dont finalement, si vous l’avez ce n’est pas mal---, donc…, jusqu'à la sortie de 1787 de nôtre texte, la deuxième critique, la critique de la raison pratique.
  • 5.       Et finalement 1790, la dernière critique, la troisième, la critique de la faculté de juger. -1783, 82, et ---- les dates fondamentales à retenir, les trois grands critiques.

Alors….  Ce que nous allons faire maintenant… S’il n’y a pas des questions…

Intervention inaudible…. De la faculté de…

De Juger on dit parfois aussi Critique du jugement, mais d’habitude en français on traduit, critique de la faculté de juger. Critiques des orteils, jugement mais dans son sens ambiguë, sa c’est valoir   tout aussi bien pour jugement au sens de énoncer et pour jugement au sens de la faculté de porter de jugement, n’est pas, c’est le sens qu'on entend, donc, critique de la faculté de juger.

D’autre question ?

Intervention inaudible.

Oui, volontiers…. Mais je ne sais pas, merci.

Intervention …

Le quel est l’hypothèse Kant-La place.

L’hypothèse Kant-Laplace. Des grandes questions de cosmologie newtonienne, mais finalement c’est un monde de structure colossal, déterministe. C’est au fond l’interprétation la plus  ordinaire, la plus philosophique, la plus naturel si vous voulez, d’une physique newtonienne. N’est pas ?, L’idée étant que L’univers est-tel que n’importe quel phénomène aient lieu dans l’univers est soumis à des lois colossal, tel que tout évènement fait partie d’un chaîne colossal qui lui relie à des autres évènements, de sorte que : Si nous étions omnisciences, si nous connaissons absolument tout ce qui fait partie des conditions à un temps déterminé… du monde, en fait l’ensemble des évènement que se produisent à un moment déterminé dans le monde, nous serions en mesure de prévoir absolument tout ce qui va suivre. C’est l’hypothèse déterministe.

D’autre question ?
Ok.

Nous allons donc, d’essayer maintenant de nous introduire au un système conçu à savoir de la révolution critique, au système de la philosophie critique, ou criticisme qu'on dit, ou aussi de la philosophie transcendantale, il n’y a qu'avoir peur de cet mot parce qu'on le retrouvera plusieurs fois et on aura le temps de l’expliquer…
donc  nous essayons de nous introduire à ce système –(problème de son)- lui-même..
Dans la partie finale de la critique de la raison pure. Donc si vous possédez le livre vous pouvez ---- de ce que j’ai dit, sa sera bon…., dans ce partie final qui s’appelé méthodologie transcendantal. Et Notamment dans le deuxième chapitre, et dans la Deuxième session de ce chapitre. Kant nous dit la chose suivant :

 « Tout intérêt de la raison se ramènent au trois questions suivantes : »

-et puis il nous donne la liste de ces célèbres trois questions auquel finalement ces trois critiques auxquels il plus ou moins répondre. .
« Tout intérêt de la raison se ramènent au trois questions suivantes   De l’idéal du souverain bien comme principe qui détermine la fin suprême de la raison, Kant dit. Peuvent se réduire à ces trois grandes questions suivantes. »

Alors peut-être que déjà la expression, Tout intérêt de la raison, ça peut faire bizarre.  Qu'est-ce qu'un intérêt de la raison, alors c’est simple, c’est tout simplement, si vous voulez, ce qui motive l’activité rationnel de la pensé. Et nous allons le voir, quelles sont les trois questions auquel se ramènent les intérêts de la raison.  
Il faut changer de salle. On va essayer. Pas sûr que cela soit possible.
Une petite précision sur les examens car personnes m’ont posé la question. Pour ceux d’entre vous qui sont au debout de ses études…, ce n’est pas a priori.  Ce n’est pas un examen de jugement analytique a priori. Vous vérifiez si c’est au bien. Merci.  ….
Le texte kantien fait partie de la liste de 5 auteurs obligatoires. Que ceux qui bon passer l’examen de histoires de la philosophie de ….. sont sensé de les préparer. Donc est le point 5ème du programme. Ceci parce que quelques-uns avaient le sentiment qu'on pouvait choisir l’auteur préféré. N’est pas, le choix est possible mais supplémentaire en dehors de ces 5 auteurs obligatoires. Cela veut dire que les auteurs en question sont enseignes pendent les 4 semestres qui séparent ce qu'il y a  entre maintenant et l’heure de l’examen de mi- licence.
(    ….. etc…. de cours.)

Voilà donc les trois célèbres questions.
Alors tous les intérêts de la raison peuvent se réduire à ces trois questions :
  1. 1.       Que puis-je savoir ? que puis-je connaître…, que ce pouvoir-là, ce dit en allemande …Kellen…. C.-à-d., que suis-je en mesure de connaître, que suis-je capable de connaitre, et c’est en effet la question posé par  première critique, c’est la question que délimite le si vous voulez, le domaine de l’épistémologie kantien, ou le premier si vous voulez, pilier de la révolution critique, l’objet ultime de ce questionnement, qui se résume dans cette question fondamental est finalement, le vrai. Tout comme l’objet ultime de la deuxième grande question est bien entendu, le bien.
  2. 2.       Que dois-je faire ? …. vont Ichtum …. kantien Qui va remplir nos esprits, pendant le prochain mois, parce que c’est le verbe central de nôtre texte, solem, devoir, que doit je faire. Donc. Voilà, dans une seule question la sphère des intérêts théoriques de la raison, les intérêts cognitifs ou comme Kant le dit dans la langue de son temps, Les intérêts spéculatifs de la raison, donc les intérêts métaphysiques  Et, voici résumé dans la deuxième question, la sphère des intérêts pratiques, et que veut dire les mœurs éthiques de la raison. Voyiez donc déjà, l’ampleur du concept de raison que d’ailleurs sont tous les nôtres n’est pas, parce qu'on dit bien, comme le disait M. Pont dans son introduction aux étudies philosophiques, quel relation est lequel on a à ce jour, que nous sommes censés à faire de choix raisonnables, êtres des êtres rationnels ou raisonnables, cela concerne finalement, les choix qu'on fait, le décision qu'on prendre, bien entendu la raison n’est pas que la capacité de connaissance ou de rechercher de la vérité, la raison c’est aussi la faculté si vous voulez, de décision sur la pratique en ce qu'est bien ou moins bien de faire, ce que préside à nos choix et à nos décisions. Alors…
  3. 3.       Qu'est-ce qu'il m’est-permit d’espérer ? Alors le sens de cette question à être moins claire à toute première vue. Nous pouvons déjà soupçonner qu'une partie au moins de la réponse à cette question se trouvera dans la troisième critique, dans la critique de la faculté de juger pour des raisons à qui relevé d’une certaine symétrie qu'on trouve partout chez Kant.  De toute manière si là nous avons la sphère des intérêts théoriques de la raisons et là nous avons la sphère des intérêts pratiques de la raison et bien la troisième question porte finalement sur quel sphères ce n’est pas une sphère distante, c’est si vous voulez l’ensemble de problèmes relatives à l’interaction de ces deux sphères : le pratique et le théorique. Et plus précisément la question peut être posé de cet manière : Étant donné que la réalité est tel que la science la connait ?, premier question, que puis-je espérer concernant ma propre …ser., -tout particulièrement serais-je heureux.

Fin de la première conférence.


NOTE TOPSYLAC.

S’il vous plaît. Je ne suis pas française, je suis colombienne, il y a donc quelques mots, et phrases pas encore pour moi bien entendues… . Si vous trouvez le bon phrase, le bon mot, la bon référence, donné que vous pouvez l’écouter aussi, corrigez mon transcription ET…. FAIT-LE MOI SAVOIR… SVP ! margaramz@yahoo.ca
De cette façon, la traduction va rester mieux encore et cette travail c’est pour tous, un bénéfice. Donnez-nous votre collaboration svp.
Je souligné les mots où je ne suis pas certaine, peut-être il aura d’autres corrections à faire.
Reviens toujours sur cette page car elle va changer bien sûr.
Vous trouverez plus tard, la traduction du texte.
Nous remercions l’université de Genève,  par avoir mis tous ces documents si importants, accessible à tous. C’est un exemple de comment le savoir, la connaissance, l’information scientifique etc…, c’est un droit de tous.  
De la même façon nous remercions aussi M. Patrick VALAS psychanalyste, qui permettre à tous écouter ses conférences, sur celles-ci nous aurons aussi les transcriptions et ses traductions… bien que, petit à petit peu... au moins que quelqu'un voudrait nos collaborer.
Merci aux amis du Brésil aussi, JLCAON et son groupe pour le courage apporté. 
Merci.

En su asirse de su propia hechura, 
dado que el deseo insiste en hacerse saber, 
quedan invitados.

Margarita MOSQUERA ZAPATA

Psicoanalista
Tel: 2817046 // 3168255369
Itagüí, Antioquia, Colombia
http://analiz-arte.blogspot.com/
http://topsylac.blogspot.com/




[1] NT Kant, comme Platon et Saint Augustin, est l'un de « ceux qui fondent la philosophie et ne cessent de l'engendrer ». Voici une synthèse complète de l'oeuvre de Kant, où Jaspers montre comment Kant couronne la tradition philosophique dont l'origine est dans l'oeuvre de Platon, tout en étant à son tour la base de la philosophie des temps modernes. Avec Jaspers - et comme Jaspers, lui-même, penseur original - Kant est saisi comme une articulation fondamentale de la pensée occidentale. Kant. ceux qui fondent la philosophie et ne cessent de l'engendrer. de Karl Jaspers (Auteur)/ Jeanne Hersch (Traducteur)
[2] NT « Si la Dissertation de 1770 occupe une place particulière dans l’histoire de la pensée kantienne, ce n’est pas qu'elle anticipe sur la doctrine critique, comme on le dit souvent, mais c’est qu'elle est traversée par une tension de laquelle émergera le problème critique. Kant tente en effet d’y saisir ensemble différentes lignes de pensée constituées pendant la décennie 1760 : le problème d’un usage réel de l’entendement préservé de la contagion des connaissances sensibles; le désaccord des facultés; la conception d’un espace ni relatif ni absolu; la distinction des phénomènes et des noumènes.
Cette nouvelle traduction s’appuie sur une nouvelle édition du texte latin et est accompagnée d’une introduction et de notes qui s’attachent à retracer la genèse des problèmes et des concepts dans les Réflexions de la décennie 1760, en particulier au regard des lectures kantiennes de Wolff, Baumgarten, Euler, Leibniz et Clarke. Nouvelle édition établie et traduite par A. Pelletier, agrégé de philosophie et pensionnaire de la Fondation Thiers (Institut de France) ».    Voir aussi  la vidéo Emmanuel Kant, ou l’amour fou de la métaphysique sur 
[3] NT Marcus Herz est un médecin et philosophe allemand né à Berlin le 17 janvier 1747 et mort à Berlin le 19 janvier 1803. Il est un représentant du mouvement des Lumières en Allemagne (Aufklärung).




domingo, 27 de enero de 2013

Estudiando



Emmanuel KANT, Filósofo Alemán, fundador del Idealismo trascendental, Nació el 22 de abril de 1724 en Königsberg, capital de Prusia Oriental, y fallece el 12 de febrero de  1804, tenía 57 años, cuando comenzó a escribir su obra y trabajó hasta los 80 años cuando falleció.

En la sesión segunda del segundo capítulo de su "Crítica de la razón pura"  

(textos que se encuentran gratis en la biblioteca gallica de Francia BNF)



aparecen  tres preguntas fundamentales: 


1. ¿Qué puedo saber, en el sentido - nos enseña nuestra filósofa-, de qué puedo conocer, qué estoy en la medida de conocer, qué soy capaz de conocer. Siendo el objeto último de este capacidad, la verdad.
2. ¿Qué debo hacer?, es la siguiente pregunta que tiene por objeto último el bien dado que va a llenar nuestros espíritus pues incursiona en las esferas de interés de la razón, los intereses especulativos de la razón y la esfera de intereses prácticos que incluyen además, la ética de la razón. La razón es también pues, la capacidad de decisión sobre la práctica y no sólo la capacidad de conocer.
3. ¿Qué me está permitido esperar? Una parte al menos de la respuesta a esta pregunta, es la crítica, la facultad de juzgar. Se trata del conjunto de problemas relativos a la cuestión práctica y teórica. ¿La realidad es tal cual la ciencia la conoce?, Qué puedo esperar respecto de mi propia felicidad... etc.

Podemos escuchar, leer esto y más en el curso sobre Kant de la Filósofa Roberta Monticelli, dictado en lengua francesa y que traduciré para ustedes poco a poco información que nos será útil para la lectura de otros textos. 


En su asirse de su propia hechura.
dado que el deseo insiste en hacerse saber,
queda invitad@
_______________________
Margarita MOSQUERA ZAPATA
cédula de ciudadanía nº. 
41643827 de bogotá, colombia.
Psicoanalista
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Itagüí, Antioquia, Colombia
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domingo, 13 de enero de 2013

Dialéctica


Dialéctica en Lacan.

Dialéctica o método de discusión, razonamiento e interpretación utilizado en el mundo antiguo desde Zenón de Elea (480-420 AJ),  apodado “el Palamedes de Elea” o Dialéctico de Elea, en honor a Palamedes quien, en la mitología habría sido hijo de Argos y Nauplio y uno de los héroes de la ingeniosidad proverbial a y quien se le atribuye la invención del alfabeto griego.

De Zenón de Elea como el Palamedes habla Sócrates en  el Fedro.  Lo habla no obstante como retórico y no como dialéctico aun cuando lo que hace Sócrates en su nombre es dialéctica. Hay una confusión entre estos dos términos y desde los inicios. En la dialéctica puede haber retórica pero no se puede reducir a ésta sino que va más allá y en ese más allá toca, justamente, lo que en psicoanálisis podríamos nombrar como el movimiento propio del progreso analítico, tal como inicialmente lo dice Lacan, en su lección 1, seminario 1.

Sócrates dice en el Fedro, resumimos:
“[261] La retórica es en suma el arte de conducir las almas por la palabra, no solamente en los tribunales y en las demás asambleas públicas, sino incluso en las reuniones privadas. Es el arte mismo de las grandes y de las pequeñas cosas, y su empleo legal no es menos respetable en las cosas vanas que en las importantes.  ¿No conoces (Fedro) los tratados de oratoria compuestos por Néstor y Ulises en sus momentos de ocio en Ilión y no has oído hablar nunca de los de Palamedes? Y en los tribunales cada una de las partes ¿no hablan acaso contradictoriamente?  Se contradicen sobre lo justo o lo injusto.  Así pues, el que sabe contradecir con arte, puede hacer parecer según su gusto una misma cosa y a las mismas personas tanto justa como injusta.  En la arenga pública puede hacer que al pueblo le parezcan las mismas cosas, tanto buenas como malas.
Palamedes de Elea hablaba con tanto arte que hacía que sus auditores les parecieran las mismas cosas, tanto semejantes como distintas, unas y múltiples en movimiento y en reposo al mismo tiempo.  El arte de la controversia, no se refiere sólo a los tribunales y asambleas políticas sino que hay un arte único que se aplica a todas las formas de la palabra, y este arte, puede ponernos en posición de dar cuenta de toda cosa semejante a cualquiera otra en todos los casos posibles y la vista de todas las personas posibles; y cuando un hombre recurre a las similitudes y las disimula, este arte nos da la posibilidad de esclarecerlo.  Es decir. La ilusión se produce más entre cosas poco diferentes entre sí que entre las que difieren mucho entre sí. [262]  Y si quieres cambiar de lugar, (…)”[1]

Y Diógenes Laercio en su obra sobre filósofos ilustres, página 184[2], nos dice: “Aristóteles dice que (Zenón) fue inventor de la dialéctica (así) como Empédocles de la retórica.
Este arte de la dialéctica es desarrollado plenamente por Platón a través de su Sócrates (-470 à -399) del que encontramos un muy buen ejemplo en Fedro al  que más adelante trataremos. Tanto  Zenón como Sócrates fueron alumnos de Parménides (fin del siglo VI AJ-mediados del siglo V AJ.). Por su parte Platón (424/423 av. J.-C., - 348/347 av. J.-C.) (o por su nombre de pila, Aristócles) fue alumno de Crátilo (Siglo V AJ)  Quien a su vez fue alumno de Heráclito (finales del Siglo VI AJ), y de Hermógenes (Siglo V AJ) quien fuese discípulo de Sócrates, y Parménides. 
Es esta la genealogía de la dialéctica, término que viene del griego dialegesthai, conversar y dialegein distinguir, término a su vez de donde se deriva legein que significa hablar.

De esta genealogía partimos con Lacan en sus escritos técnicos, seminario 1, clase 1, del Fedro justamente, al que luego nos referiremos. Lacan dice: “cada noción posee (en el pensamiento freudiano) vida propia, lo que se llama precisamente la dialéctica: ella tiene un contrario, etc.” Este sentido es tomado en el siglo XVIII por la dialéctica. En el siglo XVIII el término es tomado como la teoría de los contrapuestos en las cosas o en los conceptos, así como la detección y superación de estos contrapuestos.  

Recorriendo otras notas sobre este término, encontramos que Lacan habla de dialéctica en el seminario I, en la misma clase 1, diciendo respecto del Id, como no debiendo ser un término al que se reduzca el pensamiento freudiano: “es un punto en la dialéctica del progreso del análisis, un punto extremo del reconocimiento existencial, “tú eres esto” ideal del final de análisis, jamás alcanzado”, hace referencia entonces a ciertos puntos cruciales en el progreso analítico, hecho que nos da la idea de movimiento, lo que nos recuerda el término dialéctica en el sentido Hegeliano.

Con esta idea de movimiento, nos vamos hacia la reconstitución de la historia del sujeto, su síntesis en el presente, por qué ha sido vivida en el pasado. La reconstrucción que implica su reconstitución, se ve obstaculizada por la resistencia, por las defensas.  Una cosa es la que desde lo imaginario se explica como causa de un síntoma y otra muy distinta la que desde lo inconsciente se verifica. Llegada a consulta una niña de 8 años quien no podía pasar de su tercer ciclo de estudios, la madre dice del malestar de la niña “es que ella…. Es desobediente, es desjuiciada, es…” en fin las palabras con que la madre podía significar para ella, el sufrimiento de su hija, sufrimiento del que la misma madre no era consciente. La niña pide la palabra, alza la mano como en la escuela para decir que quiere hablar. Se inicia en este punto el acto analítico. La madre sale de escena y queda sólo la niña con su manera de articular sus cosas. El problema, dice la niña es que no he podido pasar de la tabla del dos. Le respondo que indagaremos la razón de esa dificultad. Y comienza su recorrido, para finalmente, luego de 8 meses de trabajo a razón de una sesión semanal, entender que, en el conjunto mujeres no había podido incluir a la madre, ni en el conjunto hombres había podido incluir al padre, por lo que tampoco ella misma había podido incluirse en alguno de estos conjuntos. Elaborada su situación edípica, con su renuncia al incesto y demás, la niña logra aprender la tabla del 3 y todas las que siguen hasta la del 16 en una noche…! Llega a la sesión siguiente de esta apuesta y dice, ya anoche aprendí las tablas hasta la del 16.  Por supuesto no enunciamos aquí, de este análisis, sino lo básico para tratar de entender qué es esto de la dialéctica no sólo en Lacan sino en el trabajo analítico, la dialéctica del sujeto, la dialéctica del deseo.

En este punto dejamos este escrito, no terminado por supuesto, sino al menos en un punto que nos llevará al texto de Lacan sobre la dialéctica del deseo: “Subversión del sujeto y dialéctica del deseo en el inconsciente freudiano”.


[1] Platon, Phèdre, traducción de Mario Meunier 1922. http://fr.wikisource.org/wiki/Ph%C3%A8dre_(Platon,_trad._Meunier)
[2] http://bib.cervantesvirtual.com/servlet/SirveObras/12140528718935940987213/ima0549.htm

sábado, 12 de enero de 2013

DOGMA


Dogma

Esta enseñanza es un rechazo de todo sistema, 
descubre un pensamiento en movimiento: 
pero sin embargo, se presta al sistema, ya que necesariamente 
presenta una cierta faz dogmática. 
J.Lacan.   Seminario 1. clase 1.

Un dogma (del griego  δόγμα dogma, “opinión” y δοκέω dokéô  “parecer, pensar, creer”) es una afirmación considerada como fundamental, incontestable e intangible por una autoridad política, filosófica o religiosa que empleará en ciertos casos la fuerza para imponerlo. Históricamente el dogma ha sido una formulación de un artículo de fe utilizado cuando el criterio de conformidad con la fe debía ser utilizada por el poder judicial, cuando el poder temporal (históricamente el imperio romano de oriente) sancionaba penalmente las desviaciones con relación a la ortodoxia en la pareja –ortodoxia/herejía-.
En su sentido propio el término “dogma” (palabra certificada en 1580, nacida del latín eclesiástico dogma, que proviene a su vez del griego como se dijo antes, pertenece al vocabulario tanto filosófico como religioso. Es primero filosófico y luego con el cristianismo se torna religioso. Se encuentran los dogmas católicos por ejemplo.
Algunas creencias no religiosas son llamadas dogmas, sobretodo en política o filosofía. Es en éstos ámbitos de uso peyorativo y se subentiende que las personas que sostienen una tal creencia lo hacen por conformismo, es decir, sin posibilidad de crítica.
En otros dominios la palabra dogma se utiliza por analogía. En biología molecular, por ejemplo, concierne la replica del ADN con la Central dogma que se debe a Francis Crick pero que se parece más a una hipótesis que a un dogma.
El concepto es utilizado a menudo con intención crítica o polémica para calificar afirmaciones consideradas como incontestables pero que no están fundadas ni por una creencia religiosa ni por una demostración racional. En la media en que un dogma no puede tener justificación sino religiosa, es ilegítimo en un discurso racional (sobretodo científico), donde se lo considera como rigidez intelectual e intolerancia. Toma pues un sentido peyorativo cuando se emplea en contextos no religiosos.
Un dogma no es un axioma. El axioma es una verdad admitida aunque no sea racionalmente demostrable. No obstante el establecimiento de un axioma resulta de una elección deliberada y su validez no es indiscutible sino en el marco de una teoría, mientras que el dogma considerado como una verdada absoluta se impone a priori.
Jurídicamente, según Lalande, el término se relaciona directamente con la noción de autoridad. Sea por su origen etimológico (decisión política de un soberano o de una asamblea), sea por su sentido filosófico: opinión filosófica reconocida en una escuela que puede ser interpretada como una opinión admitida entre personas que se adhieren a la misma autoridad, produciendo la misma doctrina. O finalmente, sea por su sentido teológico: doctrina reconocida por la autoridad de una iglesia.
La fe recta ortodoxa, define un contra-campo, la herejía (héresie) que profesa una opinión diferente sobre un punto en discusión, del de la autoridad que lo promulga.
La naturaleza jurídica del dogma se remonta a la crisis arriana (el arrianismo es un movimiento teológico de los comienzos del cristianismo, cuyo creador fue un presbítero de Alejandría (Egipto) Arrio (256-336). El movimiento es calificado como hereje  en el concilio de Nicea en el año 325, por los trinitarios quienes creen en una –santa trinidad, la del cristianismo, donde un dios único se manifiesta en tres aspectos (hipóstasis)distintos -padre, hijo (palabra) y espíritu santo-, que participan, no obstante, de una misma esencia o consubstancialidad (homoousios, la misma sustancia). En suma se trata de la discusión de si el hijo de dios es creado por dios, o no. Si es creado (arrianismo) no es dios, si no es creado sino que es una manifestación del dios (cristianismo), es dios.
Esto de la triada, trinidad, viene de trimurti, término sánscrito que dice de tres formas, que hace referencia a los dioses de la mitología Hindú: Brahma (el creador), Visnú (el conservador) y Shivá (el destructor).
Antes de los hindús, en la mitología védica no existían tales tres dioses, o no tenían importancia alguna. Esta triada comienza a ser nombrada por los Hindúes en el II milenio antes de Cristo, con los dioses Indra (heroico rey de los devas), Agni (dios del fuego) y Soma (dios de la Luna y bebida psicotrópica).
Desde entonces, desde la crisis arriana, los concilios son ecuménicos y las decisiones se toman para todo el orbe, antes de ésta crisis, los concilios eran locales y las decisiones regionales.
La emergencia del cristianismo como religión oficial del estado entraña así la confusión entre religión y orden social. En una sociedad donde la religión es un elemento fundador, una herejía constituye una puesta en causa del orden social. Esto conduce a la utilización del dogma con fines judiciales y a una represión de la opinión cismática.
La confusión entre dogma y fe, el combate entre herejía y ortodoxia conduce a exigir de cada uno que enuncie públicamente los dogmas de fe para probar su ortodoxia (es el origen de la introducción del Credo católico en la misa), haciendo de este modo, la recitación del dogma un criterio explícito de la fe.

Sistema

Sistema:


Esta enseñanza es un rechazo de todo sistema, 
descubre un pensamiento en movimiento: 
pero sin embargo, se presta al sistema, ya que necesariamente 
presenta una cierta faz dogmática. 
J.Lacan.   Seminario 1. clase 1.


El término sistema proviene del griego antiguo ”sustēma” que significa "organización, conjunto". La palabra en sí viene del verbo ”συνίστημι-sunistēmi”(de σύν ἵστημι sun histēmi : « establecer con ») que significa “poner en relación, instituir, establecer".
En la historia de las ciencias, este término adquiere el sentido de "construcción teórica que da forma a la esencia de un tema. Por ejemplo: una idea que explica un fenómeno físico y es representada por un modelo matemático.
Una segunda definición dice del conjunto de proposiciones, axiomas, principios y conclusiones que forman un cuerpo doctrinal o un todo científico por ejemplo en filosofía, el sistema de Aristóteles, en física el sistema de Newton.
Otra definición tiene en cuenta el cómo funciona un sistema, el término es tomado como el conjunto de métodos, procedimientos organizados o institucionalizados para asegurar una función. Por ejemplo el sistema educativo, sistema de producción, sistema de defensa.
Un conjunto de elementos que se coordinan entre sí para llegar a un resultado, es un sistema, por ejemplo, el sistema nervioso.
Un conjunto de diversos elementos análogos, forma un sistema.
Equipo, dispositivo, máquina que garantiza una función determinada, es un sistema, por ejemplo el sistema de alumbrado en una región.
En términos de análisis se trata de una red, más o menos importante y autónoma cuyos elementos presentan la particularidad de responder en todo o en parte a un mismo objetivo. 

Estas definiciones nos dan la idea de una orquesta, cada elemento de la misma funciona por separado, de manera independiente, pero no sin relación con el conjunto en el cual está articulado y del que forma parte fundamental. Un elemento disfuncional implica la disfunción misma del sistema. Basta pensar en el organismo humano, un conjunto de sistemas que permiten el funcionamiento del todo. Cada sistema trabaja de manera independiente pero no sin relación con el todo. Un sistema es entonces un conjunto de elementos que interactúan según ciertos principios o reglas.

Un sistema está determinado entonces por:

  1. 1.  La naturaleza de los elementos que lo constituyen.
  2. 2.  Las interacciones entre estos elementos.
  3. 3.  Su frontera, es decir el criterio de pertenencia al sistema (determinando si una entidad pertenece al sistema o forma parte de su medio ambiente)

Un subsistema o modulo es un sistema que participa en un sistema de rango superior.
Un sistema puede ser abierto o cerrado en tal o tal dominio, según su grado de interacción con su medio ambiente.