jueves, 27 de septiembre de 2012


Comentarios al texto del 53 del Dr. Lacan,
por el Dr. Richard ABIBON




Son texte de 53 sur RSI, il y a des tas de façons de le lire. On peut avoir l’impression que Lacan procède comme si R, S, et I étaient des entités indépendantes dans lesquelles on navigue de l’une à l’autre. Cette façon aboutit au nœud nomme comme RSI : chaque rond serait une entité distincte. Ainsi avec sa modélisant de la cure comme rS – rI – iI – iR – iS – sS – SI – SR – iR – rS. rS :
Hay varias maneras de leer su texto (de Lacan) de 1953. Da la impresión de que Lacan procede como si RSI fueran entidades independientes  en las cuales se navega de la una a la otra. Este camino conduce al nudo llamado RSI: cada redondel sería una entidad distinta. Así como su modelización de la cura como  rS – rI – iI – iR – iS – sS – SI – SR – iR – rS. rS :
On voit bien que Lacan s’est fabriqué un jeu de cartes et il joue de la manière la plus débridée (c'est-à-dire sans rapport avec la pratique) entre toutes les possibilités logiques de combiner ses trois éléments.
Está claro que Lacan se construyó un juego de cartas y que juega de manera desenfrenada (es decir, sin relación con la práctica) con todas las posibilidades lógicas para combinar sus tres elementos.

Beaucoup plus tard, dans « Le Sinthome », Lacan s’en apercevra et donnera une toute autre définition de RSI : l’imaginaire c’est la surface et le symbolique c’est le trou. Le réel est ce qui ex-siste à cet ensemble trou-surface. Ça, ça tient la route. Le réel, le symbolique et l’imaginaire ne peuvent être pris comme des entités indépendantes, c'est-à-dire de essences. Ces concepts n’ont pas d’être. Par contre ils rentrent dans le cadre d’une structure où aucun ne saurait être là sans l’autre : pas de surface sans trou, pas de trou sans surface. Pas de structure surface-trou sans un réel impossible qui est ce sur quoi tout cela s’appuie et qui n’est que représentation. Le symbolique troue le réel, permettant l’apparition de l’imaginaire, c'est-à-dire la surface c'est-à-dire la réalité ; mais ce faisant il a dénaturé le réel ce n’est plus le réel qui ex-siste au trou et à la surface. Le trou peut être lu aussi comme la distance qui sépare le réel de la représentation.
Mucho más tarde, en “El Santoma” (le sinthome) Lacan se dará cuenta y dará cualquier definición de RSI: lo imaginario es la superficie y lo simbólico es el agujero. Lo real es lo que ex – siste en este conjunto agujero-superficie.  Eso, eso sostiene el camino. Lo real, lo simbólico y lo imaginario no pueden ser tomados como entidades independientes, es decir especies.  Estos conceptos no tienen ser.  Sin embargo entran en el marco de una estructura donde ninguno sabría cómo estar sin el otro: no hay superficie sin agujero. No hay estructura superficie-agujero  sin un real imposible que el aquel sobre el cual, todo esto se apoya y que no es más que representación.  Lo simbólico agujerea lo real, permitiendo la aparición de lo imaginario, es decir, la superficies, es decir la realidad; pero al hacerlo se desnaturaliza lo real, lo real no ex – siste más en el agujero y en la superficie. El agujero puede ser leído como la distancia que separa lo real de la representación.
Mais tout cela est lié, tout le temps. Ce qui rend caduque la première théorisation de Lacan séparant des étapes et prenant les concepts pour des essences.
Pero todo eso está ligado, todo el tiempo. Lo que torna caduca la primera teorización de Lacan, separando etapas y tomando los conceptos por especies.
C’est donc armé de ce « dernier Lacan » qu’on a intérêt à revenir au texte de 53 qui peut alors être lu tout autrement.
Es armado de este « último Lacan » que uno se interesa en volver al texto del 52 que puede ser leído entonces, de otro modo.
« Une chose d’abord qui est évidemment frappant et ne saurait nous échapper ; à savoir qu’il y a, dans l’analyse, toute une part de réel chez nos sujets, précisément qui nous échappe ; qui n’échappait pas pour autant à Freud quand il avait à faire à chacun de ses patients. Mais, bien entendu, si ça ne lui échappait pas, c’était tout aussi hors de sa prise et de sa portée ».
“Una cosa primero que es evidentemente sorprendente y no sabría escapar de nosotros; a saber que hay, en el análisis, toda una parte de real en nuestros sujetos, precisamente que escapa de nosotros; que no por eso escapaba de Freud cuando tenía que hacer con cada uno de sus pacientes. Pero, desde luego, si esto no escapaba de él, estaba también fuera de su toma y fuera de su alcance.” (texto SIR)
…il est déjà dans la définition du réel qui sera là à l’aboutissement de son parcours : le réel comme impossible, c'est-à-dire que ça échappe. Si c’est impossible, si ça échappe ça ne cesse pas de ne pas s’écrire. Donc si on l’écrit de quelque façon que ce soit, on confond réel et réalité.
…Ya está en la definición de Real que será la culminación de su recorrido: lo real como imposible, es decir que eso escapa. Si es imposible, si eso escapa, eso no cesa de no escribirse. Entonces si se lo escribe de cualquier modo que sea, se confunde lo real y la realidad.
« Cette façon de « réaliser », au sens propre du mot, de ramener à un certain réel l’image, bien entendu y ayant inclus comme une fonction essentiellement un particulier signe de ce réel, ramener au réel l’expression (26)analytique, est toujours chez ceux qui n’ont pas ce registre, qui la développent sous ce registre, est toujours corrélatif de la mise entre parenthèses, voire l’exclusion de ce que Freud a mis sous le registre de l’instinct de mort, ou qu’il a appelé plus ou moins automatisme de répétition »
« Este modo de "realizar", en el propio sentido de la palabra, de devolver a un cierto real la imagen, desde luego y habiendo incluido allí como una función esencialmente un signo particular de este real, devolver a lo real la expresión (26) analítica, está siempre en los que no tienen este registro, que lo desarrollan bajo este registro, siempre es correlativo de la postura entre paréntesis, incluso la exclusión de lo que Freud puso bajo el registro del instinto de muerte, o lo que había llamado más o menos automatismo de (repetición nota 1).” (texto SIR)
Lacan fait allusion au fort-da qui a permis à Freud de théoriser la pulsion de mort :

Lacan hace alusión al fort-da que permitió a Freud teorizar la pulsión de muerte:
« Un des points qui paraît des plus< texte manque > de la théorie analytique, à savoir celui de l’automatisme, du prétendu automatisme de répétition, celui dont Freud a si bien montré le premier exemple, et comme la première maîtrise agit : l’enfant dont on abolit, par la disparition, son jouet. Cette répétition primitive, cette scansion temporelle qui fait que l’identité de l’objet est maintenue : et dans la présence et dans l’absence, nous avons là très exactement la portée, la signification du symbole en tant qu’il se rapporte à l’objet, c’est-à-dire à ce qu’on appelle le concept ».
Uno de los puntos que más aparece < falta texto >  en la teoría analítica, a saber el del automatismo, del pretendido automatismo de repetición, cuyo primer ejemplo Freud dio tan bien, y como la primera maestría actúa: el niño del que se abole, por la desaparición, su juguete. Esta repetición primitiva, esta escansión temporal que hace que la identidad del objeto sea mantenida: y en la presencia y en la ausencia, tenemos muy exactamente allí el alcance, el significado del símbolo como se remite al objeto, es decir a lo que se llame el concepto.
Il n’y est pas encore à ce moment-là, mais il n’en est pas loin puisque c’est en 55, à la fin du séminaire II qu’il théorise la pulsion de mort comme « le symbolique en tant qu’il est muet ». Par conséquent le contresens est très facile à faire : avec une phrase comme celle-là on risque de lire que la pulsion de mort, c’est le réel, d’autant qu’il a pris comme exemple le fait humain de construire des sépultures. Ce que la suite du travail de Lacan permet de comprendre, c’est qu’il s’agit du travail du symbolique sur le réel par le biais de l’image. « Réaliser un certain réel de l’image » ça veut dire : trouer le réel par le symbolique, ce qui exclut le réel. Mais cela supposerait que le réel serait un préalable, alors qu’on peut le lire tout aussi bien comme reste de la division entre la surface et le trou, donc comme postérieur à l’opération : il y a quelque chose qui reste en dehors de cette division dont il est impossible de dire s’il s’agit de surface ou de trou. 
No está aún en ese momento, pero no está lejos ya que es en 55, al final del seminario II que teoriza la pulsión de muerte como “lo simbólico en tanto que es mudo[1]”. Por consecuencia el contrasentido es muy fácil de hacer: con una frase como ésta, se corre el riesgo de leer que la pulsión de muerte, es lo real, dado que ha tomado como ejemplo el hecho humano de construir sepulturas. Lo que la continuación del trabajo de Lacan permite comprender, es que se trata del trabajo de lo simbólico sobre lo real por vía de la imagen. “realizar un cierto real de la imagen” eso quiere decir: agujerear lo real por lo simbólico, lo que excluye lo real. Pero esto supondría que lo real sería un prerrequisito, mientras que se puede leer también como resto de la división entre la superficie y el agujero y por lo tanto como posterior a la operación: hay algo que queda por fuera de esta división, algo de lo que es imposible de decir si se trata de superficie o de agujero.
« Qu’est-ce que la parole ? » c’est-à-dire le « symbole ».
« qué es la palabra ?» es decir el « símbolo”.
Il dit ça plus loin. Oui, c’est ce qui nous aide à anticiper la lecture de ce texte avec le futur de la théorisation de Lacan. La parole troue l’image car elle sort du registre de la surface (deux dimensions) support de toute écriture, pour s’envoler dans le trou entre les interlocuteurs, dans l seule dimension qui est la sienne soit, la temporalité. C’est ainsi que se symbolise l’image qui avait été mise en mémoire comme substitut à un défaut de parole. Mais l’image d’un rêve, ou la représentation du symptôme, sont déjà des symboles en tant qu’ils représentent un conflit non élucidé, mais perçu. Simplement le symbolique ici encore muet n’avait pu que fabriquer qu’une image à laquelle il manque son bord, la parole. Le bord de la surface c’est toujours le trou, et le bord comme tel, linéaire, la parole, appartient donc à la fois à la surface et au trou. C’était ma façon de lire ceci à la lumière du Lacan tardif :
Él dice eso más adelante. Sí, es lo que nos ayuda a anticipar la lectura de ese texto con el futuro de la teorización de Lacan. La palabra agujerea la imagen porque ella sale del registro de la superficie (dos dimensiones) soporte de toda escritura, para volar en el agujero entre los interlocutores, en 1 sola dimensión que es la suya, o sea, la temporalidad. Es así como se simboliza la imagen que había sido memorizada como sustituto de un defecto del habla. Pero la imagen de un sueño, o la representación de síntoma (symptôme), ya son símbolos, puesto que representan un conflicto no resuelto pero percibido. Simplemente lo simbólico aquí, mudo aún, no había podido sino fabricar una imagen a la cual le falta su borde, la palabra. El borde de la superficie es siempre el agujero, y el borde como tal, lineal, la palabra, pertenece entonces a la vez, a la superficie y al agujero. Es esta mi manera de leer esto a la luz del Lacan tardío.
« Faute de réaliser l’ordre du symbole d’une façon vivante, le sujet réalise des images désordonnées dont elles sont les substituts. Et, bien entendu, c’est cela qui va d’abord et d’ores et déjà s’interposer à toute relation symbolique véritable ».
“Por no realizar el orden de lo simbólico de modo abierto, el sujeto realiza imágenes desordenadas que son sustitutas. Y, desde luego, es esto lo que va desde el comienzo y en adelante, a interponerse a toda relación simbólica verdadera.” (texto SIR)
C’est pourquoi je ne suis pas d’accord avec les interprétations de JPG

Es por lo que no estoy de acuerdo con las interpretaciones de JPG.
JPG : « C’est cette dimension de la commune mesure pour faire trois qui fait leur réalité, leur nouage, c’est-à-dire leur Réel ».
JPG: « es esta dimensión de la medida común para hacer tres lo que constituye su realidad, su nudo, es decir su Real”. (Sem. XXII, JPG. 1. Abordaje por lo real).
Le nouage n’est pas du tout un réel : il n’y a rien de plus symbolique. Je sais, Lacan a dit ça aussi, dans un de ses nombreux dérapages mais ce n’est pas logique avec un corpus dont on peut deviner, des 53, qu’il va dans le sens d’une structure dont tous les éléments sont solidaires, certes, mais pas identiques ! Si on écrit le nœud avec un rond R un rond S et un rond I, on écrit que ces trois registres sont identiques, car les ronds sont exactement identiques en substance et en fonction. Or, si le symbolique c’est le trou, et l’imaginaire la surface, ils ne sauraient être identiques. Lacan a employé cette écriture longtemps pourquoi ? Pour simplement montrer qu’ils sont solidaires. Il n’avait encore pas trouvé l’autre formule, le symbolique comme trou, l’imaginaire comme surface. Là, la solidarité des éléments est tout autre, elle tient à l’hétérogénéité fondamentale de la surface et du trou. 
El anudado no es en lo absoluto un real : no nada más simbólico. Lo sé, Lacan dice también eso, en uno de sus muchos errores pero no es lógico con un corpus en el que se puede adivinar, desde el 53 que él va en el sentido de una estructura en la que aunque todos sus elementos son solidarios, sin duda, ¡no son idénticos!  Si uno escribe el nudo con un redondel R un redondel S y un redondel I, uno escribe que estos tres registros son idénticos porque los redondeles son exactamente idénticos en sustancia y  en función. Ahora bien, si lo simbólico es un agujero, y lo imaginario la superficie, no podrían ser idénticos. Lacan empleó mucho tiempo esta escritura, ¿por qué?. Simplemente para mostrar que son solidarios,  que están juntos. Él no había encontrado todavía la otra fórmula, lo simbólico como agujero, lo imaginario como superficie. Ahí la solidaridad de los elementos es muy distinta, es la heterogeneidad fundamental de la superficie y del agujero.  
L’écriture du nœud, quelle que soit la dénomination qu’on donne aux ronds, est une écriture : c’est une lettre, donc une image bordée de symbolique, c'est-à-dire qu’on peut y lire les trous. On le lit seulement par convention  c'est-à-dire par pur symbole si on décrète qu’il doit y avoir alternance dans les zone entre surface et trou. Voyez que c’est très loin du réel ; qui, lui, ne cesse jamais de ne pas s’écrire. C’est ce à quoi se hasarde Lacan lorsqu’il nomme les zones, y incluant deux jouissances et le sens. 
La escritura del nudo, cualquiera sea la denominación que demos a los redondeles, es una escritura: es una letra, por lo tanto una imagen rodeada de simbólico, es decir que allí podemos leer los agujeros. Lo leemos solamente por convención, es decir, por símbolo puro si decretamos que debe haber allí alternancia en las zonas entre superficie y agujero. Vean que está muy lejos de lo real; que no cesa nunca de no escribirse. Es  en lo que se aventura Lacan cuando nombra las zonas incluyendo en ellas dos goces y el sentido.
Là j’ai apporté ma pierre à l’édifice en montrant la structure du nœud pris ainsi, simplement comme articulation de surfaces et de trous. Et je montre que ses deux « jouissances » sont des trous qui ne sont pas de même nature. Le sens et la jouissance phallique sont des trous effectifs, en tant que nous les écrivons ; la jouissance de l’Autre  est une surface désorientée qui fait tache, qui fait trou de désorientation dans la surface orientée.
Ahí aporte mi piedra al edificio mostrando la estructura del nudo así tomado, simplemente como articulación de superficies y de agujeros. Y muestro que sus dos “goces” son agujeros que  no son de la misma naturaleza. El sentido y el goce fálico son agujeros efectivos puesto que los escribimos; el goce del Otro es una superficie desorientada que mancha, que hace agujero de desorientación en la superficie orientada.
On peut trouver tout ça sur mon site.
c’est là qu’on s’aperçoit que le petit a n’est pas au centre non plus. 
Se puede encontrar todo esto en mi sitio.
es ahí que uno se da cuenta que el pequeño a tampoco está en el centro
On ne peut pas réduire la question à un triskel comme le fait JPG, car un triskel est de structure totalement différente s’il est une partie d’un nœud borroméen ou s’il est une partie d’un trèfle, par exemple, ou d’un Whitehead. De plus en nommant les brins « corps, langue et sens », on assimile le corps au sens et à la langue, car les brins sont identiques. Le corps est une image  bordée de symbolique car il parle et on peut le parler. Si on veut l’écrire théoriquement c’est une image avec un bord. Le sens est un trou car c’est ce qui permet d’orienter la surface de l’image du corps : les trous du corps l’orientent, car la bouche est devant elle permet de mettre dedans ce qui est bon, tandis que l’anus est derrière, il permet de faire sortir ce qui est mauvais. La bouche fait par contre sortir les paroles qui de l’autre côté rentrent dans l’oreille. Voilà le sens à son fondement et c’est cela qui nous oriente dans nos déplacement à aller vers ce qui est bon à nous éloigner de ce qui est mauvais.
No podemos reducir la cuestión a un triskel como lo hace JPG, porque un triskel es de estructura totalmente diferente si es una parte de un nudo borromeo o si es   una parte de un trébol, por ejemplo, o de un Whitehead. Además al nombrar los hilos “cuerpos, lengua y sentido”, se asimila el cuerpo al sentido y a la lengua, porque los hilos son idénticos. El cuerpo es una imagen bordeada de simbólico porque habla y se le puede hablar. Si se lo quiere escribir teóricamente es una imagen con un borde. El sentido es un agujero porque es lo que permite orientar la superficie de la imagen del cuerpo: los agujeros del cuerpo lo orientan, porque la boca está adelante permite poner adentro lo que es bueno, mientras que el ano está detrás, permite hacer salir lo que es malo. La boca hace salir por el contrario, palabras que de otra parte, entran en la oreja. He aquí el sentido en su fundamento y es esto lo que nos orienta en nuestros desplazamientos para ir hacia lo que es bueno y a alejarnos de lo que es malo.
Le sens n’est donc ni une surface ni un bord ni un brin de ficelle. Pas possible de représenter ainsi. Le corps n’est pas non plus un brin de ficelle c’est une surface, celle qui entoure les trous. Enfin la langue, oui, c’est un brin de ficelle, car le brin de ficelle possède une seule dimension il peut écrire convenablement le fil de la parole qui fait le bord de la surface et des trous mettant en place l’orientation.
El sentido no es entonces ni una superficie ni un borde ni un hilo de cuerda. No es posible representarlo así. El cuerpo no es tampoco un hilo de cuerda sino una superficie, la que rodea los agujeros. Finalmente la lengua, sí, es un hijo de cuerda, porque el hijo de cuerda posee una sola dimensión puede escribir convenientemente el hilo de la palabra que constituye el borde de la superficie y los agujeros poniendo en marcha la orientación.
Encore est-ce différent avec un trèfle, car alors cela veut dire que tous les mots sont en continuité,  défaisant l’orientation que la discrétion des trois ronds du nœud borroméen permettent au contraire l’orientation : un sujet représente un signifiant pour un autre signifiant. Voilà ce que peuvent écrire des ronds : des signifiants, séparés les uns des autres mais noué dans l’articulation d’une parole qui oriente.
Sin embargo es diferente con un trébol, porque entonces significa que todas las palabras están en continuidad, deshaciendo la orientación, que la discreción de los tres redondeles del nudo borromeo permite por el contrario la orientación: un sujeto representa un significante para otro significante. He aquí lo que pueden escribir los redondeles: significantes, separados los unos de los otros pero anudados en la articulación de una palabra que orienta.
Enfin le zonage qu’à tenté Lacan en ouvrant le bord de chaque rond a sans doute un intérêt symbolique comme schéma pour articuler des concepts, mais il n’a pas de validité topologique.
Finalmente la zonificación que intentó Lacan abriendo el borde de cada redondel tiene sin duda un interés simbólico como esquema para articular conceptos, pero no tiene validez topológica.
Voilà ce que je peux dire brièvement des textes que tu me soumets.
Alors ?

amitiés

Esto es lo que brevemente puedo decir sobre los textos que enviaste
Entonces?...

amistosamente,

Richard Abibon
> 64 rue Emeriau
> Tour Panorama
> 23ème étage appartement 04
> 75015 Paris
> 01 45 75 15 22 / 06 84 75 94 06
>
abibonrichard@wanadoo.fr
>
http://pagesperso-orange.fr/topologie/
Richard Abibon
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[1] « Es aquí donde llegamos al orden simbólico, que no es el orden libidinal en el que se inscriben tanto el yo como la totalidad de las pulsiones. Tiende más allá del principio-del placer, fuera de los límites de la vida, y por eso Freud lo identifica al instinto de muerte. Releerán ustedes el texto y verán si les parece digno de aprobación. El orden simbólico es rechazado del orden libidinal que incluye todo el dominio de lo imaginario, comprendida la estructura del yo. Y el instinto de muerte no es sino la máscara del orden simbólico, en tanto que-Freud lo escribe-está mudo, es decir, en tanto que no se ha realizado. Mientras el reconocimiento simbólico no se haya establecido, por definición, el orden simbólico está mudo.” (Seminario 2. El yo en la teoría de Freud. Clase 24 S, m, a, S. 29 de Junio de 1955.)

NOTAS DE LECTURA

notas:
1.  «Nuestra investigación -escribe Lacan- nos ha llevado al punto de reconocer que el automatismo de repetición (Wiederholungszwang) toma su principio en lo que hemos llamado la insistencia de la cadena significante. A esta noción en sí la hemos discernido como correlativa de la ex-sistencia (es decir, del lugar excéntrico) donde tenemos que situar al sujeto del inconsciente, si debemos tomar en serio el descubrimiento de Freud. Se sabe que es en la experiencia inaugurada por el psicoanálisis donde puede captarse por qué sesgo de lo imaginario viene a ejercerse, hasta en lo más íntimo del organismo humano, este asimiento de lo simbólico. La enseñanza de este seminario está destinada a sostener que esas incidencias imaginarias, lejos de representar lo esencial de nuestra experiencia, sólo entregan algo inconsistente, a menos que se las relacione con la cadena simbólica que las liga y las orienta. Por cierto, conocemos la importancia de las impregnaciones imaginarias (Prägungen), en sus parcializaciones de la alternativa simbólica que dan su andadura a la cadena significante. Pero nosotros planteamos que es la ley propia de esta cadena la que rige los efectos psicoanalíticos determinantes para el sujeto, tales como la forclusión (Verwerfung), la represión (Verdrängung), la denegación (Verneinung) en sí, precisando con el acento que aquí conviene que estos efectos siguen tan fielmente al desplazamiento (Entstellung) del significante que los factores imaginarios, a pesar de su inercia, sólo hacen allí figura de sombras y reflejos.»

Otros comentarios del mismo autor

aquí

02/09/2012 21:52
Dentro del marco de trabajo de la lista de estudio en las cosas del psicoanálisis,  Traducido por:
Margarita MOSQUERA ZAPATA
Psicoanalista
Tel: 2817046 // 3168255369
Itagüí, Antioquia, Colombia